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A LA RECHERCHE DE L'AMOUR DE MA VIE

2 mai 2008

JE TE HAIS

je me suis inscrite sur un site de rencontres,comme ça,par ennui mais surtout par solitude et dans l'espoir d'oublier.De tout oublier.J'ai discuté avec toi,parce que je te trouvais pas mal sur la photo,et surtout parce que tu souriais,j'aime quand on souris.Je n'ai pas craquée sur toi, mon cœur est pris dans un tourbillon incessant.
Je souhaitais juste DISCUTER avec toi.Pour me changer les idées,savoir ce que c'est que d'avoir une vie heureuse,en gouter quelques miettes invisibles et oublier,tout oublier.Mais toi tu ne me répond pas.Comme la dernière des cruches,je te réponds alors que tu n'en vaut pas la peine.Je l'ai deja évoquée,et n'étant pas une fille hypocrite,je t'en ai parlé.Et toi,en grand seigneur que tu es,tu t'es presque confondu en excuses.Et finalement les jours passent mais RIEN.TOUJOURS RIEN.Et j'ai vu le nombre de fois ou tu t'étais connecté sur le site mais ou tu n'as même pas daigné me répondre.Ce me blesse dans l'histoire,c'est la lassitude des gens.MA lassitude;Je t'ai tout de suite cernée,mais en fille naive que je suis,je me suis dis que dans la vie,il ne faut pas avoir une idée toute faite des gens,alors j'ai fait la démarche de te connaître.Mais finalement je ne m'étais pas trompée.Je me réjouie d'avoir raison?Non,dans ce genre de situations,je hais avoir raison.Ce que j'aimerais me tromper sur les gens,avoir ce plaisir de voir quelqu'un en négatif qui se révèle fabuleux.Mais je n'ai pas cette chance.Maudite perspicacité et clairvoyance qui a balayé le peu de naïveté qui me restait encore.Pourquoi es ce que l'espoir de la lumière après le tunnel ne vient pas? Parce que C'est MA VIE

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28 février 2008

LA TRISTESSE,LA VIE

Je reviens aprés une longue absence.Cela me permettras de ce fait de te raconter plus de choses.J'ai enfin réussi à tirer un trait sur S..Cela a été beaucoup plus difficile que je ne l'imaginais.Non pas que je sous-éstimait les blessures que pouvaient inffliger les sentiments,mais par rapport à l'attachement que j'avais pour lui.Je me suis accrochée à lui comme à une bouée de sauvetage,pensant me noyer au moindre éloignement,mais j'y est survécue;Comme à toutes les épreuves que j'ai dû endurer tout au long de ma vie.

Quand je tente une rétrospection,je me dis que j'ai supporter mon long de souffrance et de douleur.Et pourtant,face à des choses beaucoup plus insignifiantes,je baisse les armes et abandonne le champ de la baitaille en plein combat.Il y a autant de vies que d'êtres humains,et pourtant chaque histoire personnelle que l'on vit se recoupe avec une autre,étrangère ou pas de nous.Quand je suis dans une periode difficile,je me dis qu'il y a pire que moi,plus malheureux que moi.Mais je ne peux m'empêcher qu'il y a plus heureux que moi,bien plus heureux.

Le soir est un moment particulier pour moi.Plus précisement la nuit.J'ai un rapport ambigû avec la Nuit,sentiment d'appréhension mêlé à l'excitation.

Appréhension de devoir faire face à mes démons,démons que je tente d'apprivoiser,à grand peine.Je suis là,allongée,et au moment de fermer les yeux,tout se remet en marche.Comme si mon esprit était une salle de cinéma.Je suis la spectatrice de ma vie,contrainte de voir cet écran immense qui projette des images sans cesse refoulées,sans cesse niées puis reniées mais dont l'inconscient à gardé la mémoire.Je me revoie,surivivant au fil d'une machine,une machine inquiétante et tellement bruyante.Puis je me vois luttant entre la vie et la mort,je vois mon corps torturé par tous ces fils interminables,toutes ces machines bruyantes qui se mettent à sonner au moindre susraut de mon corps.Elles sonnent au moindre danger qui leur semble iminent.Je me vois gémir et subir toute cette souffrance endurée par mon corps mais également tellement insupportable à mon esprit,à mon coeur.

Je me revois dans des souffrances si attroces que les larmes ne coulaient même plus,mon corps c'était vidé de tout sentiment.J'étais dans un état semi-comateux dont les injections de morphine en puissance n'arrangeaient rien.Là,les larmes roulent sur mes joues,en silence,sans bruit,sans prévenir.Cette fois,je les laisses finir leur chemin,je ne les arrêterais pas.Pas cette fois.Je ne veux plus faire "comme si".Je ne suis pas aussi forte que je le croyais.J'ai refusé longtemps l'idée que je pouvais avoir des félures,que je n'étais pas que joie de vivre et sourires.Surtout pour ma famille.Je me devais d'être "digne" et "courageuse"comme ils me l'ont toujours répeté.Jusqu'au jour d'aujourd'hui,je m'interdis d'avoir des faiblesses,je ne peux pas faire cela à mes parents.Ils n'auraient jamais pu le supporter.Alors,j'ai enfoui,au plus profond de moi,émotions,tristesse,mal-être,déséspoir,haine de la vie,envie de quitter ce monde pour un autre.Et j'ai remplaçé ces "immondices"par des sourires,des éclats de rire,du courage,de la joie de vivre.J'ai creusé un profond trou qui s'ést révélé être un abîme,et j'y est tout jeté,puis recouvert de manière maticuleuse et soignée,afin que personne ne se doute de quoi que ce soit.

Et comme je l'avais prévu,jamais personne n'a tenté de creuser,n'a tenté d'ôter cette poussière pour voir ce qui se cachait réellement.D'un côté,cela me réconfortais,me rassurait.J'étais forte,et personne ne me connaissaint réellement.Puis,je me suis lassée d'être toujours considérée comme une fille "mystérieuse",très "secrète".A certains que je pensais dignes d'entrer dans le labyrinthe,je leurs est tendu une carte,en parsemant des indices ça et là.Mais finalement,personne n'a vraiment compris.Personne n'a cherché à savoir.Si personne ne cherchait à me connaître,personne ne méritait alors que j'ouvre mon jardin secret.Avec M,j'ai tenté une fois,je lui est ouvert ce jardin,mais il a piétiné les roses qui jonchaient l'allée.Depuis,je me suis jurée de ne plus jamais ouvrir mon coeur à qui que se soit.Les gens s'arrêtent aux apparences,aux préjugés,sans réellement tenter de comprendre.Cela leur samble ennuyeux,ils préfèrent ne pas s'encombrer de choses futiles.

La vie m'a appris beaucoup de choses,sur moi-même,mais également sur les autres.Sur mes attentes,mes espoirs,mes failles,ma fragilité.Lorsque le monstre nous envahit de l'intérieur,on ne peut plus lutter.Il aspire et détruit tout sur son passage,nous vidant de nos forçes pour nous laisser plus que nos faiblesses.Il est là,tapis dans l'ombre,prés à bondir et à nous arracher nos dernieres résistances.Que reste-il à la fin;un coprs meutri par la maladie,détruit dans sa chair,dans son âme,dans son souffle.J'ai luttée contre ce monstre,et j'ai gagnéé une bataille.Certes,pas la guerre,mais un peu de répis tout de même.Il est en sommeil,toujours là,mais inerte.Il est immobile,il ne bouge plus.On pourrait croire qu'il n'a plus un souffle de vie en lui,mais ce serait le sous-éstimé.Il dors.D'un sommeil profond;Sans fin?Sans reveil?Personne ne peut le dire.Mais il faut espérer.

6 novembre 2007

ils en ont tous parlé...

de l'Amour.Les plus grands poètes,les personnes déçues,les personnes trahies,les personnes heureuses.J'ai essayé à ma maniere,de parler de ce que je ressentais au plus profond de moi,et je crois que si Baudelaire lisait une de mes "créations",il se replongerait dans son sommeil eternel,sans hésiter.Mais,dans le fond,peut importe que l'on soit un poète dans l'âme,que l'on soit né avec une plume à la main,je crois que le plus important,et ce qui fait la différence,c'est la sincérité.C'est exprimer ce que l'on ressent au plus profond de soi,et decrire avec sa propre litérrature,sa propre musique,et ça,c'est beaucoup plus fort que tout le reste.Vaut mieux un baiser maladroit mais tendre et chaleureux,plutôt qu'un baiser réussi mais d'une froideur qui nous laisserait de marbre.Il y a quelques temps,je ne pensais pas que je pourrais créér une page personnelle ou je livrerais vraiment ce que je ressent.Parce que j'ai toujours été tres secrète,j'ai toujours eu grande peine à me confier,à me livrer.Mais là devant un ordinateur,je suis seule,je me sens en confiance et les mots viennent seuls.Sans doute parce que la peur d'être jugée ou tout simplement la peur de ne pas être comprise n'erre plus au dessus de ma tete comme une épée de Damoclès.Ce qui est paradoxal,c'est que j'ai toujours été une confidente,une oreille attentive pour mon entourage.J'encourageais toujours les gens à se livrer,à exprimer leurs émotions,etc mais pour moi,c'était une autre histoire.On dit bien que les cordonniers sont les plus mal chaussés.Peut -on garder tout à l'interieur de soi,sans en parler à personne?C'est possible oui,je l'ai fait,et je continue,même si être ici est assez libérateur;mais au final,on est bouffé de l'intérieur et l'on devient plus que le fantome de nous-même.Je crois,dans le fond,que ce sont toujours les personnes qui ont vécus des moments difficiles,douloureux dans leur vie,qui ont le plus de mal à s'ouvrir à l'autre.Car pour pouvoir se livrer,il faut avoir entière confiance en l'autre,et dans ce genre de situation,c'est un manque cruel de confiance en soi et de confiance en l'autre qui pousse au retrait,à la solitude.Alors on se raccroche à ce que l'on peut.Depuis ce jour ou je l'ai vu,j'ai su que ça ne pourrait être que lui.Je sais pas,cela peut sembler absurde,complétement fou mais je ne sais pas comment l'expliquer.C'est  au fond de moi,dans mon coeur,là.

















6 novembre 2007

A toi,mon amour

Je te dédies ces mots,à toi,mon amour,ces mots qui bouillonnent dans ma tête et qui débordent de mon coeur.Ces mots que je reve de te dire un jour.

Quand je t'ai vu la premiere fois,

Mon coeur explosa de joie

j'ignorais tout de toi,

mais mon coeur te connaissais deja

depuis ce soir d'hiver et de froideur

je fut enveloppée de ta chaleur

celle qui se dégageait de ta carrure si rassurante,

celle,qui depuis ce jour,mon esprit,hante

dans les moments de douleurs,

dans les moments de désespoir,

avec ton sourire si ravageur

tu apaisais mes craintes et mes doutes

en m'entourant de tes bras,nid protecteur.

Lorsque je doute,je veux que tu sois la,

lorsque mon coeur est triste

je veux être avec toi

je te dedies ces mots,a toi mon amour,

ces mots que je gardes pour toi,toujours

4 novembre 2007

A l'origine,l'amour était un sentiment dont

A l'origine,l'amour était un sentiment dont l'existence était purement "fonctionnelle".Oui,car c'est avec l'amour que l'on s'unit et donc que l'on va perpetrer les générations futures.C'est l'amour qui permet d'accepter les défauts de l'autre en les rendants plus doux,presques attachants.C'est l'amour qui nous aide à surmonter les épreuves de la vie.Mais c'est aussi l'amour qui nous rend la vie plus difficile à supporter lorsqu'il disparait du coeur de l'autre alors que dans le notre,il est aussi fort qu'au premier jour.

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4 novembre 2007

Je me demande souvent a quoi sert l'amour

Je me demande souvent a quoi sert l'amour finalement?Ce sentiment si noble,promesse de bonheur et de plaisir infini mais qui évoque en même temps tant de douleur et de larmes tard sur l'oreiller.Pourquoi notre coeur est -il si empli d'amour envers une personne qui ne le considère pas?Pourquoi cette personne n'en veut -elle pas?Je ne saurais y répondre.Sentiment si noble,si beau mais ô combien déroutant et intriguant.Pouvons-nous vivre une vie sans amour?La réponse est pour tout le monde évidente,bien sûr que non!Mais si l'on s'attache plus à la réalité plutôt qu'à l'inconscient collectif qui préfère rêver à l'abstrait,tout le monde n'a pas une vie pleine d'amour et de joie.Je semble sans doute d'un grand pessimisme à mon age mais je crois que,de part mon éxperience et celle de mon entourage et par ce que j'entend partout,l'amour est un sentiment vain aprés lequel tout le monde court mais seul le plus chanceux parvient à se l'appropier.

4 novembre 2007

il pleure dans mon coeur...

comme il pleut sur la ville disait Verlaine.On marche dans les rues d'une ville grouillante de monde et l'on se sent si seule et si loin du bruit ambiant.C'est étrange comme l'on a le sentiment que tout le monde est heureux lorsque l'on est malheureux.Les sourires nous aparaissent comme des rires à gorge déployées,les rires nous semblent étre des hurlements tonitruants de joie,la foule est en liesse,tout le monde est heureux.Toute reference là pour appuyer notre peine et notre tristesse est exacerbée par tout ce qui pourrait se rapprocher de la joie.Quand je marche dans les rues de la ville,plus je suis entourée d'inconus,plus  il y a du monde est plus mon sentiment de solitude est amplifié.Winter_Leaves

1 novembre 2007

Un soir de pluie et de brouillard...

Aujourd'hui,je marchais dans la rue,le regard vide mais comme depuis mon habitude,le regard vide mais hésitant,cherchant qui?ah je connais la réponse mais je ne connais ni la direction ni le sens.Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville,quelle est cette langeur qui pénètre mon coeur?c'est beau c'est vrai,mais ce n'est pas de moi,hélas!Je laisse à Verlaine le soin de l'écriture poétique,lui qui par ces vers décrit ce que je ressent souvent au fond de mon coeur mieux que moi-^même je n'aurais pu l'exprimer.Des fois,je me sens vide à l'intérieur,tu sais,un peu comme si on t'avait enlevé une partie de toi,tu es anésthésiéé,tu ne ressens plus rien pendant ces moments là,tu marche ou plutot tu erre dans les rues parmis le gens,et tout le monde qui t'entoure t'indiffére autant que lui peut t'être indifferent.C'est comme si le monde s'était figé autour de nous,que l'on était coincé dans une bulle,de laquelle on a pas la force de sortir,mais que tout le monde vit autour de nous,forme immobile au centre d'une informe mobile.C'est bizzare comme nos sentiments peuvent êtres exacerbés lorsque l'on se sent mal.On a alors l'impression de voir des sourirs immenses sur le visage de tout le monde,d'entendre des rires partout,d'avoir l'impression que tout n'est que amour et bonheur autour de nous.Autumn_Leaves

17 octobre 2007

ET SI CELA N'ARRIVAIT JAMAIS....

Desert_LandscapeMon cher blog,si je t'écris ce soir,c'est pour te raconter ma vie,et oui,je ne suis pas trés originale.Je ne sais pas si mon blog sera lu,mais j'ai besoin d'écrire.D'ailleurs,c'est connu que l'écriture peut être une sorte de thérapie.Enfin,c'est vrai puisque je m'en sers en ce moment.

Si j'ai décidé de venir ici,c'est pour parler de choses que personne au monde à part moi n'est au courant de tout cela.Je suis trés entourée de ma famille et de mes amies et avec ma soeurs nous entretenons une relation fusionnelle,mais malgré tout cela,je ne me suis jamais rééllement confiée à quelqu'un,aussi proche soit-il,ni même pleurer sur l'épaule de quelqu'un.je suis comme ça,c'est dans ma nature,je n'arrive pas à me livrer et cela m'a d'ailleurs porté préjudice souvent.On m'a reproché d'être trop secrete,trop mystèrieuse.C'est vrai que le mystere a son petit côté intriguant,attirant que l'on cherche à decouvrir et dévoiler,mais ca,c'est au debut.Mais quand le mystere dure,"ca devient lassant"m'a dis un jour un de mes ex.

J'ai toujours été trés realiste dans ma vie et avec les gens que j'ai connu.J'ai trés jeune connu mon lot de souffrances,et j'ai perdu mon innocence et ca m'a ouvert les yeux sur la vie.Malheureusement,perdre son innocence n'est jamais une bonne chose et ca entraine beaucoup de frustration,de méfiance envers les gens et une confiance en soi trés incertaine.

De ma vie,j'ai toujours été trés consciente de la vraie nature des gens,je ne les ais ni surestimés,ni au contraire les déconsidérés.Je me suis toujours éfforcé de ne surtout pas avoir de préjugés ni d'a priori sur les gens.C'est pour cela que j'attache beaucoup d'importance à essayer de découvir la personne,son passé,son histoire,et c'est de cette maniere que l'on arrive à connaitre les gens et de ce fait,comprendre leurs comportements,leurs sentiments,leur vie,ce qu'il sont au plus profond d'eux-même.

Le probleme est que l'on ne m'accorde pas ou peu ce"privilège".Lorsque j'ai des réactions implusives,parfois colèriques,l'on ne cherche jamais à savoir le pourquoi du comment,on préfere se dire que c'est une "crise passagere"et que "ça va passer"mais le hic,c'est que ça retombe,c'est vrai,mais au fond de moi,au plus profond de mon être,c'est toujours là,ce noeud que j'ai et qui me noue l'estomac.

Je me sens vide à l'intérieure,comme une coquille trouée,échouée sur la plage et que le vent transperserait par ses sifflements stridents

Je me sens vide comme un corps statique,immobile,presque inanimé tout en étant bien vivant

Parfois,je tente de combler ce vide au fond de moi mais de quoi?d'amour?la est toute la question;ce qui semble paradoxal,c'est que sans mes états de doute et d'angoisse,lorsque je me sens"vide"je me remplit d'une négation de nourriture,et moins je vais m'alimenter,plus je vais me sentir remplie et donc "vivante".Attention,je ne fais pas l'apologie de l'anorexie,et j'ai même du mal à la comprendre.J'ai des comportements anorexiques avec des phobies par rapport au poids,aux calories ingurgitées et tout ca et je l'est même été un temps mais j'ai su m'arreter toute seule.c'est là ce qui me distingue puisque même si je perdais tout controle,toute seule j'ai realisé les choses et j'y ai mis un frein,même si des fois,le "sombre squelette" ressurgit,je fais tout pour le chasser de ma tête ainsi que tous les autres demons enfouis dans mon esprit et qui ressurgissent toujours au moment ou l'on est le plus vulnérable.

En ce qui concerne les sentiments,ah!c'est une longue histoire.Mais tsi courte en même temps.Tant de choses à dire et rien à la fois.

J'ai connu des hommes dans ma vie mais je n'ai jamais connu ce que MOI je cherchais.Lorsque j'étais avec eux,j'étais bien,mais je sentais qu'il me manquait quelque chose,mais quoi exactement?je l'ignorais;j'étais présente par l'ésprit mais absente par la pensée.J'ai tenu aux hommes que j'ai connu,de façon differente à chacun mais ils ont compté.Mais malgré tout,en n'étant plus avec eux c'etait plus une présence que je regrettais et qui me manquait plutot que eux,plutôt que leur propre personne.

Je ne me comprenais pas,je me croyait amoureuse et dans un sens je l'ai sans doute été,mais ressentir l même sentiment étrange et envahissant à chaque fois,ça commençait à m'inquieter.Je me suis alors remise en question,chose que je fais tout le temps mais là j' me suis écouté au plus profond de moi et j'ai enfin eu la réponse tant attendu.

Pour le comprendre,il faut que je replace l'histoire dans son contexte.

Il y a quelque temps déja(deux ans),je traversais des moments durs de ma vie avec leur lot de souffrance et de douleur.Un jour,je suis invitée à un mariage.Je ne voulais pas y aller,normal je n'avais ni le coeur à faire la fête et je n'étais pas non plus d'humeur à recevoir le bonheur des autres en pleine face.Je suis pas jalouse et je souhaite à tout le monde d'étre heureux mais dans ces moments là,on préfere être seule,voir personne,surtout pas des gens qui dansent et qui rient.B

Bref.Tout le monde me poussait à aller en me disant que cela me ferait du bien,que cela me changerait les idées,et donc,bon gré mal gré j'y suis tout de même allée,à reculons certes,mais j'y suis allée.

Alors que j'étais là dans mon coin,observant les invités en liesse,tout en broyant du noir,mes yeux se sont arrétés de fixer le vide,mon coeur s'est mis à cogner comme jamais contre ma poitrine.

C'etait LUI.Ca peut paraitre nul comme une chute mais pour moi c'était une chute vertigineuse.J'avais déja eu le "coup de foudre"pour quelqu'un,j'avais deja aimé à la folie mais là ça dépassait tout ce que j'avais vécu.Je ne sais pas comment expliquer cela.Il était debout ,se tenait à quelques mètres de moi.Il était trés grand,vraiment grand,quand j'ai vu sa stature,j'ai enfin compris de quoi parlait caitlin lorsqu'elle disait que Liam était "immense";Il était trés grand,avec une carrure impressionnante.Il portait un costume sombre,circonstances obligent,ce qui rajoutait à son charme.Son visage était trés masculin avec un regard franc,des petits yeux,une machoire anguleuse.Il n'était pas d'une beauté parfaite,mais cela ne faisait qu'ajouter à son charme.Il a anéanti toutes les fondations que j'avais bati autour de moi pour ne plus aimer à nouveau;il a brisé les chaines qui entravaient mon coeur.Il m'a libéré.Et c'est cela qui le differencie de tous les autres.Il n'a rien fait pour cela,mais en le voyant,j'ai su que tout ma vie ,c'etait lui que j'avais cherché en vain.Que c'était lui qui me rendait absente quand j'étais avec les autres.Parce que je savais que la seule personne avec qui je voulais être.C'est L'HOMME que j'attendais depuis toujours.Depuis ce jour là,j'ai essayé de l'oublier,de passer à autre chose mais avec toute la volonté du monde je n'ai pas réussi.Toi mon amour,je n'ai jamais pu t'oublier,je n'ai cessé de penser de à toi,tu as été présent dans mon esprit et tu m'a accompagné dans les moments heureux comme trés malheureux.J'ai essayé de rencontrer d'autres personnes,mais ton image était toujours présente dans ma tete et dans mon coeur.J'étais pesuadée,au fond de moi,que,lorsque je me sentais seule,avec toi,je n'aurais pas connu ce sentiment ou rarement.J'étais sure qu'avec toi,je me serais sentie toujours rassurée et je n'aurais pas connu le sentiment d'être incomprise.Parce que TOI tu m'aurais comprise.Je ne cesse de penser à toi,et je sais,j'en ai la certitude.JE T'AIME mon inconnu que j'ai l'impression de déja connaitre.j'ai réalisé que désormais,je ne voulais que toi.Je ne veux QUE TOI;si le destin t'as mis sur mon chemin une fois,je garde l'éspoir de te revoir un jour.Et si Dieu en décide autrement,ca sera sa volonté.Je prie de tout mon coeur et de toute mon âme de te revoir un jour,juste ça,ca sera beaucoup pour moi.C'est cet espoir qui me permet de tenir debout.

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A LA RECHERCHE DE L'AMOUR DE MA VIE
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